IRINA KISELEVA

    Dans ma vie, comme dans la vie de tout enseignant, il y a des moments dont je me souviens pendant de nombreuses années avec un sentiment de fierté, de joie... Ces sont mes propres succès, sourires pupilles dans la salle de classe, leurs réalisations. Maintenant, les succès d'une fille d'écolière s'y sont ajoutés, avec qui nous aimons effectuer des tâches non standard et des projets créatifs.

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      Je souhaite que ces moments ne se terminent jamais dans ma tête... Et pourtant, hélas, ce ne sont pas les seuls qui me viennent à l'esprit lorsque je commence à analyser mes activités professionnelles. Nous sommes tous « au pouvoir de l'information » ! Et son énorme quantité nous oblige à faire notre travail à la hâte, afin de ne pas manquer quelque chose de vraiment important dans ce flot incessant d'idées, d'émotions, d'impressions, de faits, etc. Par conséquent, il est souvent nécessaire d'être nerveux. On manque constamment de temps pour achever tout ce qui est prévu (et, croyez-moi, il y a beaucoup d'idées), comprendre les résultats de ce qui a déjà été fait. Par conséquent, il y a une certaine insatisfaction, malgré le processus quotidien de sa propre activité vigoureuse. Souvent j'ai envie de m'arrêter et de réfléchir si j'avance dans la bonne direction...

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      Comme tout enseignant, je suis ouvert aux nouvelles idées, à l'application de nouvelles méthodes d'enseignement. J'aime apprendre moi-même quelque chose de nouveau et "infecter" d'autres personnes avec cette connaissance. De plus, la vie d'enseignant est pleine de surprises. Je veux vraiment ne pas être confus, être "en pleine force" à tout moment, surtout s'ils sont associés aux actions d'enfants ou aux actions de collègues. C'est peut-être l'une des épreuves les plus difficiles qui incombent au maître. Parfois, il n'y a pas assez de conseils et de soutien de collègues plus expérimentés qui pourraient guider et soutenir dans toutes les situations. J'aime travailler en équipe, je suis donc prêt à coopérer !